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A travers cette discussion, Delphine, 27 ans, nous raconte son parcours. Elle est aujourd’hui mosaïste mais surtout, elle cherche à transmettre ce qu’elle aime aux autres. On revient ensemble sur son parcours très riche avec beaucoup de bonne humeurs et de reculs.

Après un bac L compliqué, son début de MANAA l’est tout autant. Elle part à Londres avec 50 euros en poche et devient jeune fille au pair pendant 2 ans. Cette expérience est extrêmement enrichissante : elle y découvre le plaisir d’être avec les enfants et d’apprendre grâce eux. A son retour à Paris, elle commence une licence d’art plastique et sciences de l’art. Ainsi, elle découvre qu’elle aime enfin l’école. Major de promo et complètement bilingue, elle envisage de partir aux USA et se heurte à un second échec quand elle loupe le toefl. Elle poursuit par un master pour devenir prof d’art plastique et se retrouve à nouveau face au décrochage scolaire. Cependant, elle adore la proximité avec les enfants mais se rend vite compte que ce sera trop dur pour elle de constater les problèmes auxquels ses élèves font face.

Un été, elle réalise un stage chez une mosaïste et découvre les bienfaits thérapeutiques de cet artisanat. Elle y revient un peu par hasard et a, aujourd’hui, pour projet d’ouvrir un mosaïcafé : un espace de partage où chacun pourra venir créer quelque chose de ses mains. En attendant des jours meilleurs pour les espaces collectifs, elle retourne à son envie de transmission en animant des ateliers ou réalisant des pièces sur mesure.

Au programme : une ode à la bienveillance, les réflexions de Delphine à l’idée de vieillir, son expérience d’un été au musée de la contrefaçon à Paris, une histoire de boucle d’oreille qui lui appris à dire oui et bien + encore !


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Pour retrouver Delphine sur les réseaux : https://www.instagram.com/lemosaicafe/?hl=fr


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A travers cette discussion, Alexis, 28 ans, nous raconte son parcours. Sans prendre le chemin le plus direct, il est parvenu à trouver sa place. Après un DUT info-com, il se met à son compte 1 an pour se constituer un book en espérant entrer dans des écoles d’arts appliqués. Il arrive à Paris et reprend ses études avant de faire 2 ans d’alternance aux Gobelins. Passionné par son travail, il est actuellement directeur artistique dans la même agence depuis son alternance.

En parallèle, il développe plusieurs projets qui lui tiennent à coeur : la musique et la composition mais également un podcast avec son conjoint, chercheur en santé publique. Le podcast Les Maux Bleus traite de santé mentale. Alexis y réalise la composition sonore et l’identité graphique. A travers ce projet, il parvient à réunir toutes ses passions. Il raconte comment cette expérience le nourrit tant par les rencontres qu’il réalise que par le fait de construire quelque chose avec la personne qu’il aime. Cela crée chez lui le sentiment de faire quelque chose de bien et d’utile.

Egalement, nous avons discuté de divers sujets : sa première histoire d’amour à 17 ans qui dura 5 ans et son besoin de s’émanciper à ses 25 ans et de vivre la vie étudiante avec un peu de retard. Alexis évoque aussi comment il parvient à trouver un équilibre entre ses différentes passions et à entretenir sa santé mentale.

On revient ensemble sur son besoin de prouver des choses à tout le monde : à ses patrons mais aussi à ses proches et comment il arrive aujourd’hui à faire les choses pour lui. Nous avons aussi parlé de travailler dans un domaine qui pousse à la consommation et pourquoi cela n’est pas forcément en désaccord avec ses principes moraux.


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Pour retrouver Alexis sur les réseaux : https://www.instagram.com/alexrocher_music/?hl=fr ou https://www.instagram.com/alexys.p/?hl=fr

Pour retrouver le podcast Les Maux Bleus :
Le compte instagram : https://www.instagram.com/lesmauxbleuspodcast/?hl=fr
A écouter sur la plateforme de ton choix :
https://linktr.ee/lesmauxbleus


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A travers cette discussion, Clélia, 27 ans, nous raconte son parcours. Actuellement styliste en free-lance, elle décrit son métier comme le plus beau métier du monde. Mettre l’humain au coeur de son activité est une véritable priorité pour elle. Elle cherche à sublimer les gens et créer des émotions. On revient ensemble sur son besoin de connaître les personnes avant de réussir à les habiller.
Avant cela, elle a étudié un an aux Beaux-Arts de Perpignan. Elle monte à Paris pour travailler dans la vente pendant 5 ans et en parallèle, elle développe son activité petit à petit. Elle commence par créer un magazine de mode avant de se faire hacker. Forte de ce premier projet, elle ne s’arrête pas là et persiste. Pleine d’ambition et de détermination, elle nous explique comment elle organise aujourd’hui son quotidien qui ne connait pas la routine.

Nous avons discuté de divers sujets : ses nombreux jobs qu’elle a fait depuis ses 16 ans et ce qui lui apportent encore aujourd’hui, du syndrome de l’imposteur, de légitimité et de se faire son nom dans le métier ou encore de voyager grâce à son travail. Clélia évoque aussi son ressenti face à notre société où l’image est de plus en plus présente.

On a également parlé de ses projets pour l’avenir : travailler en direction artistique avec des designers dans de belles maisons de couture ou encore créer une thérapie par l’image. Clélia nous partage l’idée qu’elle garde dans un coin de sa tête : reprendre des études de psycho pour lier stylisme et la santé mentale afin de retrouver confiance en soi.


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Pour retrouver Clélia Cazals sur les réseaux : https://www.instagram.com/cleliacz/?hl=fr ou
https://www.cleliacazals.com/

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A travers cette discussion, Capucine, 20 ans, nous raconte son parcours. Actuellement en M1 à Sciences po, elle est également l’autrice d’un livre intitulé Les déviantes. Avant cela, elle a étudié dans un lycée catholique pour fille. A 16 ans, elle prend son indépendance pour se détacher de ce cadre très particulier. Elle continue sa terminale au lycée Louis le Grand. Elle fait le choix tardif de s’orienter vers Science Po. On revient ensemble sur ce que ses études lui ont apportées, notamment son expérience d’un an au Canada. Elle a maintenant des envies d’études de cinéma ou de projets créatifs.
Nous avons discuté de divers sujets : l’environnement pesant qu’elle a eut au lycée et sa volonté quasi-vitale de le quitter ou le paradoxe entre avoir des responsabilités professionnelles mais se sentir encore profondément enfant. On a également parlé des changements liés au fait d’avoir maintenant des comptes à rendre à ses éditrices sur ses projets personnels.
Capucine revient également sur ses difficultés à s’adapter aux codes sociaux. Elle souligne également la chance d’avoir un entourage qui l’a valorise et l’a soutient dans ses projets.

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Pour retrouver Capucine sur les réseaux : https://www.instagram.com/capu_delattre/?hl=fr
Son livre : Les Déviantes, Collection : Belfond Pointillés
Date de parution : 20/08/2020

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A travers cette discussion, Alex et Tal, 27 ans, nous racontent leur parcours. Amies depuis plus de 10 ans, elles forment aujourd’hui, un duo de photographes intitulé C’est pas un film. Elles se sont spécialisées dans la photo de concerts puis maintenant de tournage. Avant cela, leurs parcours n’a pas toujours été facile.
Elles sont orientées d’une seconde générale à un bac pro esthétique avec comme idée de devenir maquilleuse ou de bosser dans le domaine du tatouage sans pour autant s’y projeter. En parallèle, leur envie d’indépendance est très prononcée. Elles prennent leurs envols et deviennent toutes les 2 mères au début de leur vingtaine.
On revient ensemble sur leurs débuts en tant que photographe et leurs sentiments d’avoir vraiment trouvé leur voie. Nous avons discuté de nombreux sujets : prendre en maturité, travailler avec sa meilleure amie, l’importance de la communication dans leur amitié ou encore de la légitimité sur les tournages quand les photographes ne sont pas forcément des piliers essentiels.
Tal et Alex évoquent également leur impression d’être encore de grandes adolescences, leurs difficultés à gérer leur stress ou encore à concilier vie de famille et opportunités professionnelles.

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A travers cette discussion, Camille, 26 ans, connue sous le pseudo Wiwoos, nous raconte son parcours. A la sortie du bac, elle fait un an de prépa aux Ateliers de Sèvres. Aujourd’hui, illustratrice et influenceuse, elle a arpenté plusieurs domaines : étude de lettres, photographie, graphisme, direction artistique avant d’arriver à ce qu’elle fait aujourd’hui.
Nourrie de nombreuses expériences de salariat plus ou moins enrichissantes, elle démissionne de son travail de graphiste et décide de se lancer en freelance à plein temps en tant qu'illustratrice fin 2019.
Camille aime Paris, son appartement et faire la fête. Très soutenue par ses parents et ses proches, elle a construit une bonne confiance en elle.
Nous avons discuté de nombreux sujets : se sentir fière de travailler pour des marques, avoir l’impression d’avoir de la chance, entendre la critique sur son travail ou encore avoir l’impression de vieillir car le corps ne réagit plus pareil.
Camille évoque également ses inspirations, sa peur de se lasser de l’illustration, la place que l’amitié a dans sa vie de freelance ou encore ce qu’elle aimerait pour l’avenir : rénover sa maison de campagne et sortir un livre illustré.

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Pour retrouver Camille sur les réseaux : https://www.instagram.com/wiwoos/?hl=fr
https://www.instagram.com/camillewitt_illustration/?hl=fr
Son site internet : https://www.wiwoos.com/


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