Happy Endings

Happy Endings

Le premier album d’Old Dominion s’intitulait Meat and Candy, comme si le groupe tentait de réunir deux extrêmes : un country du terroir, aussi américain qu’un bon steak sur le BBQ, et une approche pop presque bonbon. Happy Endings suit la même démarche, fusionnant les genres et les époques. « No Such Thing as a Broken Heart » s’ouvre sur des claquements de mains et une référence directe à John Mellencamp, puis offre une critique de la culture populaire moderne. Et s’il se permet des retours en arrière, comme sur la ballade sortie des années 70 « Stars in the City », la formation de Nashville n’est pas nostalgique et embrasse les sons du jour avec enthousiasme, comme sur la très pop « Be with Me » ou sur « Written in the Sand », qui oppose le caractère éphémère d’un texto à la permanence d’un tatouage.

Choisissez un pays ou une région

Afrique, Moyen‑Orient et Inde

Asie‑Pacifique

Europe

Amérique latine et Caraïbes

États‑Unis et Canada