Petit déjeuner compris

Marie Louise et Gauthier Leroux qui vivent à Bourg-en-Bresse avec leurs deux enfants héritent d'un hôtel en plein Quartier Latin qui appartenait à leur grand tante, la Buque. La Buque a été victime d'une explosion en faisant des crêpes, ce qui consterne le personnel et les pensionnaires.

À l'arrivée de Gauthier, tout le personnel est aligné dans le bureau de la « Buque » pour faire connaissance avec le « patron ». Mais suivant les conseils du notaire, Gauthier a décidé de mettre l'hôtel en gérance. Les candidats se présentent et les Leroux trouvent le gérant idéal, monsieur Bourrinot.

S'étant retrouvés malgré eux sans acheteur ni gérant, les Leroux sont donc obligés de s'occuper de l'hôtel « Buque ». Tandis que Marie Louise retourne à Bourg-en-Bresse pour régler quelques affaires, c'est au tour de Gauthier d'être confronté à la vie quotidienne pour le moins agitée de l'établissement.

Gauthier n'est pas près d'oublier cette folle nuit où, dans son hôtel archi-complet, après avoir déployé des trésors d'imagination pour trouver une chambre à Monsieur Marjac son patron et à son épouse, arrivés à l'improviste de Bourg-en-Bresse, il a passé son temps à cacher d'une pièce à l'autre, Boris, le culturiste soviétique « ayant choisi la liberté ».

Les Leroux dirigent à présent l'hôtel avec plus d'assurance et semblent l'un et l'autre succomber à son charme. C'est le moment que choisit le sort pour s'acharner sur eux.

Gauthier est resté au poste de police, en garde à vue. Marie Louise rentre seule à l'hôtel où elle trouve un paquet venant de chez Dior adressé à un client qui ne viendra plus. Elle décide de se rendre chez le couturier et devant tout le luxe et le raffinement du salon, elle se laisse tenter par une robe.