Sensual Stepbrother

J’ai déjà lu plusieurs livres similaires sur le fond « frère-sœur » qui n’a pas lieux d’être puisqu’ils ne le sont pas vraiment mais celui-ci a sa petite particularité. Le côté grec était sympa à découvrir, j’ai aimé Pâris même si son language me faisait penser à un ado. Je pense que lui apporter un côté plus mature, plus ... m’aurait mieux convaincu.
Bémol, la fin on a pas de discussion mère-fille sur leur relation conflictuelle depuis des années, on nous passe des mois et hop c’est réglé : dommage ! Je vais pas caché, j’ai sauté des lignes par moments, Vic ma agacé à rester bloqué sur leur « lien » fraternel pendant tout le livre.

Oui,l’histoire se lit facilement,nous voyageons jusqu’à la Grèce. Mais j’ai pas trop adhéré. Peut-être que j’aime beaucoup trop sa série « RIDE » et que j’ai dû mal à me mettre ds ses autres écrits. Ce n’est pas un coup de cœur,mais ça se laisse lire,c’est bien écrit. J’espère qu’il y aura des spin-off sur les personnages secondaires.

Je ne suis pas une adepte du concept « stepbrother » en new romance. Je préfère que l’auteure joue la carte non conventionnelle que sur l’interdit. Pour moi, pas de lien de sang tu peux t’aimer comme tu veux. Mais bon je peux comprendre que dans certains pays, on crie au scandale.
Après cette déconvenue de départ, Ana Scott a réussi à me faire passer un très bon moment.
L’auteure coche toutes les cases de la romance parfaite. J’ai un héros muy caliente Paris qui change un peu des américains/parisiens fortunés… Un bon grec qui donne envie de prendre des cours de langue.
Paris et Victoire, un coup de cœur dans les rues de Paris et dommage qu'une union va tout chambouler. J’ai une héroïne qui sera obnubilée par le lien fraternel et le mâle alpha qui fera tout son possible pour lui faire entendre raison.
Beaucoup apprécié cette cohabitation forcée où les héros vont jouer au chat et la souris. Aucune lectrice en ressortira indifférente même s’il jure un peu trop.
J’aime le héros qui détruit tout sur leur passage, exige et surtout ne s’attarde pas sur les refus en contournant les règles. Paris veut crier « Victoire » et il fera tout pour l’avoir.
Par contre, j’aurais aimé que l’auteure développe un peu plus la relation conflictuelle entre Victoire et sa maman. C’était pour moi le gros problème de Victoire pour accepter ses sentiments et non le côté interdit. La trame « interdit » aurait mieux matché pour moi.
En tout cas, j’ai passé un très bon moment. Je m’attends à ce qu’Ana Scott me propose un tome sur Blanche et les frères Onakis et pourquoi pas sur les deux plus jeunes.