La vie devant moi La vie devant moi

La vie devant moi

    • 2,8 • 5 notes
    • 6,99 €
    • 6,99 €

Description de l’éditeur

« C’est le regard sans tabou d’une sexagénaire qui s’assume sur l’âge, ses cadeaux, ses dégâts à l’heure où la question de la retraite se pointe à l’horizon des trimestres. À moins d’y être déjà ce qui amène d’autres questions pas plus simples.
Où les parents disparaissent et les enfants s’envolent.
Où les hormones s’étiolent et le désir avec. Même si l’habitude a son mot à dire, soyons rassurées, il revient.
Où l’amour parfois fout le camp mais la passion peut tout emporter, le coup de foudre n’a pas de date limite même pour nous les femmes. Et son âge à Lui n’est pas non plus le sujet principal. 
Où tout reste à inventer à condition de ne pas se laisser mener par les idées toutes faites ou le regard des autres.
Où changer de vie n’est pas qu’un rêve. Quitte à sauter le pas sans se retourner. »
C’est encore une histoire de transmission sur trois générations mais aussi de rencontres fondatrices et d’échanges complices. Pour rire de ce qui n’est pas si drôle. Pour tout se dire même ce qu’on ne pourrait dire à personne  (« et surtout pas à son mari ») alors qu’à notre tour nous voilà - déjà ou bientôt -  en âge d’être grand-mère. Qu’on le veuille … ou non.

GENRE
Politique et actualité
SORTIE
2016
13 janvier
LANGUE
FR
Français
LONGUEUR
200
Pages
ÉDITIONS
JC Lattès
TAILLE
923,3
Ko

Avis d’utilisateurs

marielike ,

Vu dans Elle, photos dans Point de Vue

Ce n'est pas un livre, l'écriture est lente et répétitive, la caricature est lourde ou alors l'auteur à 80 balais et souvent loin de la sexta !
Elle aurait pu nous épargner les noms, fille de, petite fille de, employée par...
Pareil pour Le Monde en italique, on dirait un sponsor au même titre que Joëlle Ciocco, Le Voltaire....jusqu'à Monsieur Grelou!
Dommage parce que l'analyse commençait bien, le bouleversement des femmes actives qui arrêtent de travailler, des femmes belles qui ne séduisent plus autant.
Elle nous épargne son cancer et autres bobos, c'est déjà bien.
Il est vrai que la piquante jeune femme que j'avais croisée à Porquerolles attendue par le vieux (à mes yeux) Marcel Jullian qui trépignait..cette jeune femme pétillante et belle, j'ai eu du mal à la reconnaître dans notre quartier, voire assise à côté dans un restaurant.
Je suis certaine qu'il y avait une autre façon de nous parler de sa vie trépidante et des ralentissements de l'âge, le ton papier pour magazine féminin ne peut tenir 200 pages . Et les références à sa tante valent plus qu'à sa mère, charmante mais écrivain dilettante .
Cela commençait bien, c'est dommage mais cela ne m'aura pris qu'une heure de ma vie à moi. On attend un deuxième essai sans références et sponsors...;) Sa plus grande chance est son nom dont on se souvient. Je ne suis plus sûre de la reconnaître même au Cette.