Wildcard

Wildcard

Pendant le processus d’écriture de son septième album, Wildcard, Miranda Lambert a décidé de prendre une pause. « J’ai pris la première vraie grande pause de ma carrière, qui a commencé quand j’avais 17 ans », dit-elle à Apple Music. « C’est là que j’ai réalisé à quel point j’avais besoin de respirer. » Ce temps d’arrêt a été l’occasion pour la mégavedette du country d’apporter d’importants changements à sa vie : elle a surpris tout le monde en annonçant qu’elle s’était mariée en secret et qu’elle habiterait désormais New York à temps partiel. De son propre aveu, ces modifications ont ravivé sa flamme créative et insufflé une bouffée d’air frais à sa musique. « J’ai adopté une approche similaire à celle de mon premier album, plus que sur tous les autres », dit-elle. De bien des façons, Wildcard donne l’impression d’un nouveau départ. On y trouve de nombreux morceaux rock entraînants (« Locomotive »), de la pop puissante (« Mess with My Head ») et une confiance pleine de lucidité (« It All Comes out in the Wash »). Cette nouvelle audace est en partie attribuable au producteur Jay Joyce (Eric Church, Zac Brown Band), avec qui elle a collaboré pour la première fois après plusieurs années à travailler avec Frank Liddell. Lambert croit que le temps était venu pour un peu de renouveau : « Le country, c’est mon domaine, c’est qui je suis, mais j’adore le rock & roll. » Les fans de sa musique country seront ravis par des pièces comme « Way Too Pretty for Prison », une chanson de rupture dans laquelle Lambert et Maren Morris s’imaginent tuer un ex avant de réaliser que la prison n’est pas pour elles (pas assez de gars, de salons de beauté et de chardonnay). Sur la ravageuse « Pretty Bitchin’ », elle énumère les choses qu’elle aime comme le bon vin, une guitare neuve, une caravane Airstream bien équipée, et profite de son succès sans retenue dans un monde où l’on critique souvent les femmes de l’industrie. « I use what I got/I don’t let it go to waste » (librement : « Je me sers de mes atouts/Mieux vaut les utiliser », chante-t-elle sans gêne avec l’attitude d’une personne qui a souvent fait la une. La chanson parle de réussir malgré tout : « I’m pretty from the back/Kinda pretty in the face/I hate to admit it/But it didn’t stop me, did it? » (librement: « Je suis belle de dos comme de face/Je n’aime pas l’admettre/Mais ça ne m’a jamais arrêtée »).

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